Paroisse Les chantiers du diocèse Réfection du presbytère Saint-Martin de Pessac

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De quoi s’agit-il ?

Depuis près d’un siècle, cette maison du XIXe au 2 rue des Poilus donnant sur la place de l’église et de la mairie de Pessac est devenue propriété de la paroisse qui en a fait le presbytère. Des équipes de plusieurs prêtres s’y sont succédées pendant des décennies.
Cette maison est grande (actuellement 5 chambres à l’étage), mais, un peu vétuste, elle est mal isolée et n’est pas aux normes d’accueil du public dans la partie accueil paroissial. Désormais trop grande pour les besoins de logement des prêtres à Pessac, elle est devenue… trop chère à entretenir.

Comment est venue l’idée d’un projet de rénovation et de transformation ?
Depuis plus de deux ans, une équipe émanant du conseil économique conduite par le P. Frédéric-Marie Lauroua, précédent curé, a réfléchi à la manière la plus adéquate d’utiliser ce bâtiment, pour lui permettre :

  • de continuer de répondre aux besoins pastoraux du centre bourg de Pessac (accueil, réunions…)
  • de loger un prêtre, si possible en RDC pour un prêtre retraité
  • d’apporter des revenus permettant un autofinancement de l’entretien du bâtiment
  • valoriser le bâtiment pour répondre aux forts besoins de logements sur Pessac

Quel est ce projet de chantier de rénovation et de transformation ?

La réflexion menée depuis deux ans pour répondre aux critères ci-dessus a conduit à élaborer le projet suivant :

  • aménagement d’un logement pour un prêtre dans le petit bâtiment au fond du jardin (actuellement composé de salles), prêtre actif ou prêtre retraité (facilité par le logement au rez-de-chaussée)
  • découpage de la maison principale en deux parties séparées pour créer :
    => une partie pastorale (entrée 2 rue des Poilus), accueil, salle de réunion, bureau du prêtre, archives… qui respectera désormais les normes permettant l’accueil du public.
    => une partie foyer d’étudiants en colocation (entrée place Ve République), avec 4 chambres à l’étage équipées chacune de sanitaires individuels, et une cuisine / salle commune au RDC. La gestion de la partie foyer d’étudiants sera déléguée à un organisme dédié, pour ne pas être à la charge de la paroisse.

Comment cela va-t-il se faire ?

Les travaux sont prévus en 3 phases :
– 1ère phase : rénovation de la toiture qui est en très mauvais été (travaux prévus pour débuter dès la fin 2025)
– 2ème phase : transformation des salles du jardin en logement, afin que le prêtre résidant actuellement dans le presbytère puisse être relogé dans le logement nouvellement aménagé (travaux prévus début 2026)
– 3ème phase : transformation du bâtiment principal en 2 parties, foyer d’étudiants d’une part et salles paroissiales d’autre part comme indiqué ci-dessus (travaux prévus courant 2026)

Financement : quel coût ? Qui va payer ?

Le coût des travaux est évalué à 458 000 euros.
Le financement est prévu comme suit :

  • apport de 100 000 euros par le fonds de réserve de la paroisse
  • emprunt contracté par le diocèse de 256 000 euros
  • don de 50 000 euros par l’association de la Fraternité (sur 2 ans)
  • 27 000 euros par les prévisions de résultats positifs de la paroisse
  • 25 000 euros de souscription spécifique auprès des paroissiens

Le diocèse a validé ce financement et encouragé ce projet dont il sera le maitre d’ouvrage. Il a été validé par le conseil économique et le conseil pastoral de la paroisse, et il est déjà suivi par un comité de paroissiens émanant du conseil économique.
Nous avons maintenant besoin de vous, paroissiens, amis ou sympathisants de la paroisse de Pessac, pour nous aider à financer ce projet ! Nous faisons appel à votre générosité par un don (déductible des impôts à 66 %) :

Vous découvrirez les plans dès que possible dans nos communications paroissiales et vous serez informés au fur et à mesure de l’avancement des travaux !

D’avance, au nom de la communauté paroissiale de Pessac, je vous remercie pour votre soutien et pour votre participation financière, quelle qu’elle soit : tous les dons sont importants !

                                                                                   P Alban Kerne, curé